Titri et le Covid en Inde

Le 18 mars 2020, tout comme une grande partie du monde, nous fermions nos bureaux à Bangalore. Nous ne les avons plus réouvert depuis, cela fait désormais plus d’un an.

A cette époque pourtant, l’Inde se confinait alors que les cas de Covid étaient encore anecdotiques. Aujourd’hui, l’Inde fait face à une deuxième vague incontrôlée et d’une puissance que l’on n’avait encore pas expérimentée ailleurs dans le monde.

Heureusement, tous nos employés travaillent à distance depuis le premier confinement de 2020 et nous avons pu nous adapter et nous habituer à ce nouveau mode de fonctionnement. Envoi de matériel, connexions Internet (la fibre est de plus en plus présente en Inde), nous avons réussi à faire en sorte que pour nos clients, cet impact majeur n’ait pas d’incidence notable sur la qualité et la réactivité du travail que nous délivrons.

Mieux, nous avons profité du fait de ne plus avoir de contraintes de transports pour proposer aujourd’hui deux “shifts” à notre équipe :

  • l’un aux horaires de bureaux Indiens, comme avant, ce qui nous permet d’avoir une demi-journée d’avance sur la France.

  • l’autre, aux horaires de bureaux Français (après-midi et soirée en Inde) pour pouvoir être plus réactifs sur les demandes urgentes de nos clients l’après-midi.

Cette répartition s’est faite au volontariat et ce système permet donc à nos employés aussi une plus grande flexibilité dans leur mode de vie.

Nous avons donc déjà acté le fait de pérenniser ce mode de fonctionnement en deux shifts et la possibilité de travailler au choix, à distance ou au bureau dans le futur. Certains de nos employés ont ainsi quitté Bangalore pour retrouver leur famille et un environnement plus préservé. Ils pourront continuer de le faire, si ils le souhaitent à l’avenir. Certains, au contraire, seront contents de pouvoir retrouver un quotidien au bureau et nous serons toujours prêts et heureux de les accueillir.

Ainsi, nous pourrons continuer à améliorer notre service et accompagnement auprès de nos clients et faire de cette crise, une opportunité. En attendant, nous espérons que le pic actuel en Inde puisse passer aussi vite qu’il est arrivé.

Nous remercions aussi tous nos clients actuels qui ont continué à nous faire confiance dans ce moment souvent compliqué pour eux aussi.

Quartier de Domlur vidé, à Bangalore lors du premier confinement de Mars 2020

Quartier de Domlur vidé, à Bangalore lors du premier confinement de Mars 2020

Johanne B